Lundi 9 mars, dans le cadre du partenariat d'inovallée avec Grenoble École de Management, Marc Prunier est venu animer une conférence sur la transformation digitale des entreprises. Retour sur cette mini-conférence animée et illustrée de nombreuses vidéos.
En quoi le digital diffère-t-il du numérique ? Comment le digital a-t-il investi nos vies et notre sphère professionnelle ? Comment sommes-nous passés d'une économie de propriété à une économie d'usage ? Qu'entend-on par "service" ? Quelles sont les nouvelles relations des entreprises avec leurs clients ?
Aborder tous ces points en deux heures, tel était le défi lancé : Marc Prunier l'a réussi avec brio en réussissant à impliquer la quarantaine de participants de cette mini-conférence, placée sous le signe du partage et de l'échange, entre notions économiques et illustrations vidéos. Après avoir demandé à chacun des participants de se présenter brièvement en expliquant la raison de sa présence et éventuelles attentes, Marc Prunier est tout d'abord revenu sur le terme de transformation digitale et plus particulièrement sur les spécificités de la notion de "digital" dont l'aspect "humain" et la notion de "complicité" sont indissociables.
"Il a fallu 1 000 ans à l'homme pour inventer l'écriture, 100 ans pour le livre et 10 ans pour l'Internet".
Partant du constat que l’émergence des dispositifs digitaux accélère la transformation des entreprises et bouleverse les règles d’organisation et les liens traditionnels avec/entre les collaborateurs et les clients, que les hommes sont de plus en plus connectés, que les manières de consommer ne cessent d'évoluer, privilégiant à présent davantage la qualité que la quantité : l'entreprise n'a d'autre choix que d'être elle-même transformée.
Du recrutement des nouvelles générations qui privilégient le BYOD (Bring Your Own Device) en passant par l'entrée dans l'ère de la créativité, toutes ces modifications n'excluent pourtant pas le facteur humain, puisque sans humain, point de service. Sans humain, point d'écoute. Sans humain, point d'échange.
L'entreprise, quant à elle, devient "une mécanique de l'inattendu" : "Nous allons vers une société où il y a beaucoup de créativité et de déconstruction pour réinventer" souligne Marc Prunier. Mais la transformation numérique a aussi fait évoluer le terme de "service" : le client devient omniprésent, il veut être impliqué dans le processus de création. il se renseigne, lit des avis, compare, recommande des produits à ses amis, il n'est plus passif. Le digital pousse les entreprises à réinventer sans cesse leurs services.
"Il serait temps de changer notre regard. La technologie n'est pas tout, c'est important d'avoir de bonnes conversations avec ses clients et même ses collaborateurs, c'est comme ça que nous en apprenons le plus", conclut Marc Prunier.
En quoi le digital diffère-t-il du numérique ? Comment le digital a-t-il investi nos vies et notre sphère professionnelle ? Comment sommes-nous passés d'une économie de propriété à une économie d'usage ? Qu'entend-on par "service" ? Quelles sont les nouvelles relations des entreprises avec leurs clients ?
Aborder tous ces points en deux heures, tel était le défi lancé : Marc Prunier l'a réussi avec brio en réussissant à impliquer la quarantaine de participants de cette mini-conférence, placée sous le signe du partage et de l'échange, entre notions économiques et illustrations vidéos. Après avoir demandé à chacun des participants de se présenter brièvement en expliquant la raison de sa présence et éventuelles attentes, Marc Prunier est tout d'abord revenu sur le terme de transformation digitale et plus particulièrement sur les spécificités de la notion de "digital" dont l'aspect "humain" et la notion de "complicité" sont indissociables.
"Il a fallu 1 000 ans à l'homme pour inventer l'écriture, 100 ans pour le livre et 10 ans pour l'Internet".
Partant du constat que l’émergence des dispositifs digitaux accélère la transformation des entreprises et bouleverse les règles d’organisation et les liens traditionnels avec/entre les collaborateurs et les clients, que les hommes sont de plus en plus connectés, que les manières de consommer ne cessent d'évoluer, privilégiant à présent davantage la qualité que la quantité : l'entreprise n'a d'autre choix que d'être elle-même transformée.
Du recrutement des nouvelles générations qui privilégient le BYOD (Bring Your Own Device) en passant par l'entrée dans l'ère de la créativité, toutes ces modifications n'excluent pourtant pas le facteur humain, puisque sans humain, point de service. Sans humain, point d'écoute. Sans humain, point d'échange.
L'entreprise, quant à elle, devient "une mécanique de l'inattendu" : "Nous allons vers une société où il y a beaucoup de créativité et de déconstruction pour réinventer" souligne Marc Prunier. Mais la transformation numérique a aussi fait évoluer le terme de "service" : le client devient omniprésent, il veut être impliqué dans le processus de création. il se renseigne, lit des avis, compare, recommande des produits à ses amis, il n'est plus passif. Le digital pousse les entreprises à réinventer sans cesse leurs services.
"Il serait temps de changer notre regard. La technologie n'est pas tout, c'est important d'avoir de bonnes conversations avec ses clients et même ses collaborateurs, c'est comme ça que nous en apprenons le plus", conclut Marc Prunier.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de rester courtois et constructif, faute de quoi votre commentaire serait supprimé !